Luxe-Mode
Shopping : vos histoires les plus folles
"En essayant une robe de soirée dans une cabine d'essayage, je suis restée coincée dedans et je ne pouvais plus l'enlever. Résultat, une amie qui m'accompagnait a dû venir à ma rescousse et la robe s'est en partie déchirée..." (Lise, 21 ans, Angoulême).
"Je flânais dans une rue commerçante de Paris par un beau jour de printemps, allant de boutique en boutique, escortée par mon chien. Je remarque soudain que les passants me dévisagent en souriant. Je vérifie que rien ne cloche dans mon aspect général et continue mon chemin, mettant cette universelle bonne humeur sur le compte du soleil de printemps. Jusqu'à ce que je m'aperçoive, longtemps après, que Purdey (mon chien) trimballait fièrement dans sa gueule une superbe paire de tongs roses pailletées, reliées par un fil de nylon. Et ce chien merveilleux ne s'était même pas trompé de pointure !" "Période de soldes. Folie furieuse : je tombe sur une petite robe à 50 %, la dernière du rayon. Une femme s'approche et s'accroche à la robe qui était entre mes mains. Je lui lance un regard d'étonnement et lui dis que c'était la dernière. Elle se met à tirer dessus en me disant que je ne rentrerai jamais dedans ! J'ai donc tiré plus fort et récupéré ma trouvaille que je me suis empressée d'aller payer. En réalité, elle ne me plaisait pas tant que ça et je ne l'aurais peut-être pas achetée sans l'intervention de cette femme ! Je ne l'ai d'ailleurs jamais mise... J'appelle ça le shopping pulsion ! " (Olivia, 28 ans, Lyon). "Un jour, j'essayais des sous-vêtements dans un Monoprix et une vieille dame, qui devait être dans la Lune, a ouvert en grand le rideau pour faire ses essayages ! J'étais tellement surprise que je n'ai pas su quoi dire et elle non plus !" (Cécile, 26 ans, Chateauneuf sur Loire).
"Un jour de soldes... J'étais à la caisse d'un magasin, les bras plein de vêtements et parmi ceux-là, il y avait un petit pull pour lequel j'avais craqué bien qu'il ne soit pas en soldes ! J'avais failli à la règle du 'je n'achète que des soldes !' mais le vendeur a oublié de facturer l'article. A la sortie du magasin, j'étais plutôt contente !" "Souvent, le midi, je vais faire du shopping avec une collègue. En général, c'est elle qui a besoin de fringues mais c'est toujours moi qui reviens avec des sacs... et pas juste une babiole mais plutôt carrément un nouvel ensemble. Maintenant elle attend un bébé et on ne fait plus que le rayon grossesse. Du coup mon porte-monnaie s'en porte beaucoup mieux !" (Florence, 26 ans, Versailles). "Comme je cache la plupart de mes achats à mon mari, je les laisse souvent dans leur sac d'origine que je vais cacher en dessous du lit, au fond d'une armoire, au fond d'une malle à linge sale ou dieu sait où encore.. Et, bien souvent, je finis par oublier mon achat. Je me suis donc un jour retrouvée dans un magasin en période de soldes à me dire "oh, qu'elle est belle cette blouse", puis en réfléchissant "Est-ce que je ne l'ai déjà pas achetée en début de saison ?". Persuadée que non (je m'en rappellerai), je l'ai achetée. Mais à peine rentrée à la maison, prise de doutes, j'ai fouillé un peu partout et devinez quoi ? J'ai retrouvé non pas une, mais deux fois la même blouse ! Je me suis donc retrouvée donc avec trois blouses identiques..." (Valérie, 32 ans, Bruxelles). "J'achète, j'achète, j'achète parfois trop... Et il arrive souvent que je retourne le lendemain pour échanger car je suis déçue une fois sortie du magasin... J'ai réussi à échanger jusqu'à 4 fois un article... En fait je suis une boulimique du shopping puisqu'il m'arrive d'acheter sans nécessité."(Odile, 34 ans, Lyon).
"J'avais 20 ans, enfin un peu d'argent en poche et une grosse envie de m'acheter du joli, du cher, du soyeux. Bref, innocente et inexpérimentée, j'arrive dans une boutique mi-luxe et je tombe sur le chemisier de mes rêves. Donc, j'essaie ce ravissant chemisier à manches longues très à ma taille, sauf les manches qui me découvrent trop le poignet. Une vendeuse, gravure de mode, s'approche de moi. En un clin d'oeil, elle s'aperçoit que je ne suis qu'une petite étudiante fauchée et que je ne serai pas celle qui fera exploser son chiffre d'affaires aujourd'hui. Je l'appelle et lui demande si elle n'aurait pas un chemisier de la taille au-dessus et lui montre mes poignets. La moue dédaigneuse, elle me rétorque "Quant on a des bras d'orang-outan, on s'habille sur mesure". Bien évidemment, je suis sortie en pleurant du magasin, traumatisée. Je ne crois pas avoir été une fan du shopping avant, mais depuis cette histoire, je fuis les boutiques et encore plus les vendeuses, n'achetant qu'à la condition expresse qu'on ne s'occupe pas de moi. Maintenant, j'ai internet et davantage d'aplomb. Mais je repense encore parfois à cette jeune peste prétentieuse, qui m'a dégoûtée du shopping." "Il y a quelques années, je suis entrée pour la première fois dans une boutique qui vendait des fringues branchées en me disant qu'il serait temps de changer mon look un peu trop classique. Précisions importantes : j'avais 35 ans et je faisais une taille 40. La vendeuse me toise de la tête au pieds et me demande "C'est pour vous ?". J'ai répondu que c'était pour ma grand-mère et suis repartie aussi sec assez vexée." (Régine, 40 ans, Mériel).
"J'avais besoin d'une robe de soirée il y a quelques années et pour une fois, j'ai décidé d'entrer dans une boutique et de me faire conseiller. Je suis tombée sur une vendeuse emballée par mes mensurations. Elle m'a fait essayer je ne sais combien de tenues. Quelque peu réticente au début, je me suis moi-même prise au jeu, flattée par le reflet renvoyé par le miroir. Jamais je n'aurais eu l'idée d'essayer une robe longue et ou décolletée sans le zèle de cette professionnelle. Je lui dois mon meilleur souvenir de shopping de ces dernières années et les 200 euros dépensés pour une robe, que j'ai toujours et que j'arbore bien trop rarement, m'ont paru plus que justifiés !" "J'emmenais souvent mon petit garçon de 3 ans faire du shopping et son plaisir était de passer sous les rideaux pour voir les jolies dames ! J'étais très gênée mais cela ne m'empêchait pas d'en rire par la suite !" (Géraldine, 33 ans, Toulouse). "Durant la période de Noël, j'ai flâné dans les boutiques. Et ma famille aussi, notamment ma mère et ma belle-soeur. Résultat, le 25 décembre au matin, j'ai reçu, de la part de ma belle-soeur, une écharpe rose et je lui avais acheté la même. Ma mère et ma cousine ont acheté un même haut. Et de nouveau ma mère et moi avons acheté le même bas de jogging pour nos hommes ! Comme quoi, être fan de shopping, c'est bien une affaire de famille !" (Johanna, 22 ans, Noisy sur Ecole). "Je suis restée bloquée dans une robe en tentant de l'enlever dans une cabine d'essayage..." (Emilie, 23 ans, Sannois). "Premier magasin d'une journée de shopping en début de printemps, un homme est rentré dans un magasin de lingerie, il s'est dirigé vers les cabines d'essayage, il a enlevé son imperméable et s'est retrouvé tout nu devant nous. Puis il s'est assis en tailleur et a attendu que les vigiles viennent le chercher. Je me suis dit que la journée commençait bien. Qu'est-ce que j'ai pu rire..." (Christine, 32 ans, Les cadeaux)
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