Elles en ont ras le pompon : "On se fait avoir ", estime Lydia Naval.
Vendredi 24 mai, les 12 danseuses se rendront au TGI de Paris où elles réclameront à la SPEDIDAM 16 000 euros de droits chacune, pour la diffusion d'images à la télévision ou en DVD.
La Société de perception et de diffusion des droits des artistes-interprètes avait commencé à leur verser 300 euros par an depuis 2010, alors que les premières démarches ont été entreprises depuis 1995.
Ces femmes, aujourd'hui quinqua-sexagénaires, reconverties dans le commerce, la restauration, ou au chômage, ont bien besoin qu'on leur rende enfin leur dû.