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Vous et les "psy" ?  
Verbatim : l'intégrale de vos témoignages (2)

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Corinne " Disons... que le premier psy m'a "sorti" de mes angoisses et d'autres problèmes "psychiques", mais la dernière puisqu'il s'agit d'une femme en l'occurence a eu un résultat catastrophique... et je pèse bien mes mots, la différence venant du secteur public pour cette psy, depuis j'évite à consulter de nouveau (c'est l'angoisse que d'y penser) !!! ce qui prouve pour ma part que le résultat est négatif même si il est vrai, qu'il ne faut jamais s'arrêter au premier thérapeute si le "courant" ne passe pas car ceci est très important pour un bon suivi !! "

Corinne " J'ai découvert de nombreuses choses sur moi-même, mon couple, ma famille, sur nos modes de fonctionnement. Je comprends mieux les autres et je me comprends mieux moi-même. Mais le chemin sera encore long et je continue... "

Corinne " J'ai été suivie par un psychiatre pendant 6 mois après le décès d'un proche. Bilan : il a essayé d'abuser de moi...J'ai ensuite consulté une psychothérapeute par le rêve éveillé. Bilan : 8 mois de séances mais coût très élevé et j'ai eu un bébé. Je recommande cette thérapie qui n'est malheureusement pas pris en charge par la sécurité sociale "

Corinne " Je me sent mieux et je vie maintenant pour moi et non pour les autres. "

corinne " J'étais saisie de telles angoisses que je ne pouvais plus répondre au téléphone, ni ouvrir ma boite aux lettres. Je ne sortais de chez moi que pour travailler. La foule m'angoissais si fort que je ne pouvais plus entrer dans un supermarché. Pouvoir en parler fut une libération et après quelques semaines je me suis retrouvée en train de faire des courses au supermarché aux heures de pointe. Il y avait plein de gens dans le magasin. Et même si j'étais tremblante, je ne me suis pas enfuie. Depuis chaque semaine, chaque mois mes angoisses s'amenuisent et certaines disparaissent. Un grand merci à mon psychiatre, je ne sais pas comment j'aurai fait sans lui. "

Danièle " Les problèmes de l'enfance sont évacués (plus ou moins facilement, ça dépend des personnes), et la vie de tous les jours est devenue moins oppressante, on sait mieux répondre soit aux gens, soit aux situations. On est moins agressive soit envers soi-même,soit envers les autres. C'est très bien et je ne regrette pas, bien au contraire. "

danielle " au début, très perturbant, tout est remis en cause avec toute fois la sensation d'être sur la bonne voie. C'est long, mais les bénéfices se font sentir assez rapidement et sont encourageant parfois et décourageant par moment. l'analyse nous emmène sur d'autres sujets que l'on pensait sans problème.... Et puis un jour le calme, une nouvelle assurance arrive, on relativise beaucoup plus de chose, rien n'est noir ou blanc, on est plus tolérant.. bref on va mieux ! "

Dany " J'ai pu relativiser mes problèmes, en particulièrement familiaux et "couper le..cordon ombilical" avec mes parents et dès lors je me suis sentie soulagée. "

Delphine " Ancienne boulimique vomisseuse. Suivi d'une thérapie comportementale durant 1 an 1 x par semaine. Très positif. Regain de confiance en soi, apprentissage du non, de mes besoins. "

delphine " bilan positif, j'ai été recadré et ça me permet de parler de moi sans culpabiliser de gêner les autres, ça m'aide à mieux me resaisir.Mais trop longtemps de psy devient néfaste parce qu'on devient égocentrique, et hors réalité. "

Delphine " Ca m'a sauvé la vie ! "

Delphine " Cela m'a ouvert les yeux, cela m'a donné du courage afin de prendre de graves et esentielles décisions, ça m'aide à trouverqui je suis et ce que je vaux. "

Delphine " Je suis actuellement suivie, ma cure analytique n'est pas terminée, je ne peux pas encore faire de bilan général, mais c'est d'un grand apport personnel. Cela dit, il faut bien comprendre que cela doit être motivé par son propre engagement, que c'est long, pénible et douloureux, et qu'il n'existe aucune garantie quant-à l'aboutissement "

Delphine " Je suis actuellement une psychothérapie depuis bientôt 3 ans. J'effectue un travail sur moi-même. Cela m'a permis de comprendre certaines de mes réactions, d'analyser mes relations avec mon milieu familial, professionnel et relationnel. J'ai appris à mieux gérer mes angoisses, les problèmes familiaux, ect...Je continue d'y aller car il me semble que je dois encore éclaircir certaines choses comme ma sexualité, un sujet difficile à évoquer avec un psy (le regard de l'autre...). Mais pour moi la psychothérapie me pose un problème angoissant que peut-être d'autres personnes connaissent : "Quand doit-on arrêter la psychothérapie ?" Prendre cette décision n'est pas facile. J'ai peur de devenir dépendante. "

Diane " besoin de se confier mais blocage, puis petit à petit la confiance s'établit "

Edith " suite au décès de mes parents - lorsque j'étais jeune..bilan positif "

elodie " j'y suis allée seulement 2 fois parce qu'il ne me plaisait pas mais m'a quand même permis de me questionner sur mes problèmes "

elysabeth " pas donné suite un peu déroutée car pas trop aidée après quelques séances c'est difficile de trouver le bon thérapeute. quelques évidences mises à jour mais pas de solution ou peut être celle que je refusais...... "

emilie " J'ai consulté deux fois. Une première fois à 17 ans, à ma demande, j'ai vu la psychothérapeute pendant un an mais j'étais un peu jeune pour affronter toutes les réalités qui surgissent quand on entame ce genre de travail. Aujourd'hui (j'ai 27 ans) je vois une psychothérapeute toutes les semaines depuis prés d'un an. C'est une démarche qui demande de la volonté et du courage. Ce n'est pas un moment passif, loin de là. Il faut être actif car le psy c'est pas le père noël, les solutions ne tombent pas du ciel. Il faut accepter de rompre avec une partie de ce qu'on a été et cela implique certaines fois des ruptures avec son entourage mais comme elles s'inscrivent dans une démarche qui a du sens, la souffrance qui peut en résulter est beaucoup mieux accepter. Je dirais que la thérapie donne du sens à nos actions et nos ressentis, et lorsque l'on comprend quelque chose on l'accepte beaucoup mieux. "

Emilie " Rien de sensationnel. Déja très dificile d'en trouver un de disponible avant des mois et savoir si c'est un "bon"?..Parfois on se demande s'il y a bcp de différence avec parler à un magnetophone, pour ce qu'ils répondent!!!..Mais ça fait peut-être un peu de bien quand même de parler de ses problèmes. ..Difficile à savoir. "

Emmanuelle " Je suis en cours d'analyse, avec une psychanaliste donc, depuis bientôt 6 ans. Deux conclusions s'imposent : ça a changé ma vie, radicalement et de manière très positive, et ça continuera de la changer, du moins je le souhaite. Une fois les premiers problèmes réglés, on en découvre beaucoup d'autres plus cachés, moins importants (pas toujours en fait), et chaque problème résolu est un pas vers le bonheur, ou du moins la paix intérieure. "

Emmanuelle " un effet radical, un changement de vie tres positif, et des souffrances acceptees et digerees. "

Eve " Oui, une 1ère fois, il y a 12ans, pendant 4ans, 2f/semaine.C'est une expérience intéressante et bénéfique qui permet de comprendre certains mécanismes inconscients qui génèrent un mal être. Parler permet de les faire émerger, de les analyser, voire de les dépasser. C'est un peu difficile au début, mais ça devient vite passionnant et c'est una aide véritable qui réduit considérablement la souffrance psychique...Ma 2ème epérience a eu lieu après le décès de mon père, où en plein désarroi et submergée par la dépression, je pense que je n'aurais pas pu m'en sortir seule. Ce travail a duré presque un an et m'a permis de reprendre pied dans une forme de vie moins douloureuse...C'est vraiment une "aventure" que je conseille à tous ceux qui sentent confusément que la souffrance est là, à l'intérieur, sans savoir comment s'en libérer. On hésite, à tort, à consulter alors que c'est la solution qui permet parfois de guérir de blessures qu'on ne soupçonnait même pas. La thérapie est adpatée aussi aux enfants. plus les problèmes se résolvent tôt, plus la vie adolescente et adulte sera pleinement vécue. "

F " Je suis tombée sur un charlatan qui a pris mon porte-feuille pour un fond de commerce "

Fabiola " A l'occasion probablement d'une dépression (non diagnostiquée par mon géneraliste),j'en suis arrivée à ne plus pouvoir sortir de chez- moi,j'avais des crises d'angoisses et des attaques de paniques...Par ex,je me préparais pour faire des courses déjà je metteis trés longtemps puis au moment de partir j'avais envie d'aller au toilette et celde manière répétéés ensuite nous arrivions sur le parking et là impossible ,je ne me sentais pas bien ,je disais à mon mari que me sentais au bord du malaise,alors nous remontions et 10mn aprés idem et pour en finir il allait faire les courses tout seul.j'avais 30ans et un enfant de 3 ans,je vivais en couple. A un point tel que je n'allais plus faire les courses,je continuais à aller travailler, (personne n'a été au courant sur mon lieu de travail)j'étais souvent en arrêt maladie pour diverse raison(angines,bronchite gastro..Jamais pour phobies).C'est mon mari qui lui même consultait une psychiatre et qui m'a poussé à consulter pour moi-même. La démarche a été trés dur , car la Psy n'était pas toute proche de chez-moi et j'avais de grosses angoisses pour m'y rendre il fallait prendre la voiture et je redoutais les embouteillages car l'idée d'être bloquée était insuportable et me déclenchais des crises.J'était trés trés malheureuse et je ne voyais pas d'issue.Aprés une bonne année de suivi,(Psychotérapie comportementale)environ 1 fois par semaine pendant un peu plus d'un an,mon état s'est amélioré progressivement puis un jour , j'ai décidé d'arréter.Depuis je vais beaucoup mieux,je remarque tout de même qu'en période de fatigue parfois dans un magasin je commence à me sentir mal,alors j'essaye de respirer calmement(parfois cela marche et parfois non,ce qui m'oblige a sortir).Mais cela reste des épisodes assez rares et contrôlés car je sais que je ne ferais jamais de malaises.Parcontre je reste claustro et dans un ascenceur je deviens terrible!!!!Heureusement que suis dans un pavillon. la conclusion,c'est qu'il faut absolument consulter car c'est une aide précieuse et que l'on arrive à guérir et reprendre gout à la vie .Il faut surtout se faire soigner dés les débuts des symptômes cela évite une grande souffrance.Moi j'ai attendu plus d'1 an et c'est dommage car je suis passée à cot^é de certaines dans ma vie familiale que je regrette. "

Flo " Lorsque la vie devient difficile à supporter parce que l'on s'invente des problèmes masquant des angoisses profondes, rien ne sert de découvrir les causes, car une fois trouvées, on n'est pas plus avancé. Les thérapies cognitives s'attachant aux solutions pour aller bien sont incroyablement plus efficaces que les analyses visant à détecter pourquoi on va mal. Plus rapide, moins cher, plus fiable, permettant de mettre au point des habitudes cérébrales utiles dans de très nombreuses situations. LAissez tomber les analyses, ça rend encore plus cinglé. "

Flocon " beaucoup plus de sérénité, j'ai retrouvé confiance en moi et je fais plus confiance aux autres. M'a aidé à parler, à discuter plus facilement avec des inconnus, que des avantages en tout cas... "

Flocon " beaucoup plus de sérénité, j'ai retrouvé confiance en moi et je fais plus confiance aux autres. M'a aidé à parler, à discuter plus facilement avec des inconnus, que des avantages en tout cas... "

Flore " je suis actuellement suivie par un psy...l'effet? un "meilleur-etre" largement notable et surtout une prise de conscience de pas mal de problèmes : donc une meilleure résolution ou tentative de résolution de ceux-ci... ..un bilan? de mieux en mieux dans ma peau et lucide sur moi-même! donc de mieux en mieux dans ma vie!.. "

florence " mortel "

Fouine " J'ai consulté un psychanalyste juste après une grave dépression. Le médecin m'avait plutôt conseillé de faire une psychothérapie, mais je sentais qu'il y avait des choses qui devaient sortir depuis très longtemps (j'ai un tempérament dépressif depuis toute petite...). Alors mes premières séances ont plutôt été consacrées à des plaintes nombreuses et variées, jusqu'au jour où j'ai commencé à changer, à parler beaucoup plus facilement de tout ce que je ressentais autour de moi, et même parfois un peu trop (je me suis assagie depuis !). Tout ce que j'ai pu dire au psy, je le savais déjà, et depuis très longtemps. Mais curieusement, le fait de le dire à quelqu'un que je ne connaissais pas, avec un regard détaché sur ma vie, a eu un effet très différent que celui de ressasser sempiternellement les mêmes choses dans sa tête. Cela m'a permis de prendre du recul, d'avouer certaines de mes erreurs qui me rongeaient de l'intérieur, un peu comme les confessions dans la religion chrétienne... La dépression et le fait d'aller voir un psy a également fait un choc à ma famille, mes parents en particulier. Ceux-ci m'ont alors parlé de certaines choses que j'ignorais: leurs propres peurs, leurs propres doutes et certaines de leurs "blessures", dont certaines étaient relatives à leurs propres parents, à leur couple ou à mon frère et moi. A partir de là, j'ai réalisé que la parole avait un pouvoir infiniment plus grand que je ne me l'imaginait, et que le silence pouvait faire des dégâts considérables. J'ai continué les séances pendant 1 an, toutes les semaines, puis j'ai arrêté pour cause de budget plus serré... En 1 an, j'ai énormément changé: plus confiante en moi, j'ai plus de facilité pour relativiser les choses, même si certains jours, la déprime me guette encore. Mais, comme on se muscle les bras et les jambes, la relaxation est elle aussi de plus en plus facile: plus on regarde les petits bonheurs de la vie, et plus cela semble facile... Ma psychanalyse ne fesait réellement que commencer lorsque j'ai tout arrêté, mais lorsque je pourrai me le permettre, j'irai à nouveau fouiller dans mon crâne pour définitivement m'apaiser et m'ouvrir sur les autres...Donc bilan très positif. Je ne peux qu'encourager celles et ceux qui se sentent patraques dans leur peau de trouver de l'aide chez un psy (et aussi ceux qui croient aller bien: je pense sincèrement que les personnes réellement équilibrées sont une très grande minorité. Pour s'en convaincre, marcher pendant 1/4 d'heure dans une ville et regarder vivre les autres. Je me demande encore comment la race humaine à fait pour survivre jusque là!). Le tout est de ne pas penser que cela ne sert à rien, et de trouver le bon psy (personne en qui on se sent en confiance, et méthode - thérapie ou analyse- qui correspond le mieux à son caractère ou à ses besoins). "

Francine " J'ai vu beaucoup de psy différents dans ma vie. J'y ai souvent trouvé des aides ponctuelles mais jamais à tittre définitif. Je reste persuadée qu'il faut continuer à travailler en permanence sur soi quand on est dépressif ou qu'on l'a été...Aujourd'hui, je vais voir un psy qui m'apprend à m'aimer. Le chemin est difficile mais je pense y arriver un jour. "

Franck " c'est un processus long, mais très puissant, qui vous apporte un réel bien être, pour peu que la personne s'en donne la peine... les événements de l'enfance ne ressortent pas facilement, il faut leur laisser le temps de ressurgir à la surface, il faut les accepter, les apprivoiser, pour mieux les dépasser.......en conclusion, je dirais que cette démarche devrait être accessible à tous ceux qui en ressentent le besoin, c'est une médecine comme une autre, on se soigne le "cerveau" comme on soigne une tendinite, c'est le même processus..===============================..Dans votre question numéro 7, vous distinguer mal à mon avis les différentes démarches possibles : il existe en effet deux grandes familles : les thérapies (en face à face) et les analyses (sur un divan) "

Françoise " cela m'a permis une remise en question totale, une prise de conscience des problèmes personnels, des problèmes dans mon couple. Le psy m'a aidé à analyser au fur et à mesure des séances tout le vécu de mon enfance. Bilan très positif au bout de deux ans, je revis, épanouie dans mon couple, j'ai "digéré" tous les problèmes vécus enfant qui m'ont déstabilisés adulte. C'était un psy sexologue qui m'a suivie, très à l'écoute du patient, sans brusquer le déroulement des séances. Il ne faut pas hésiter à consulter finalement avant que tout s'écroule dans un couple. "

Françoise " Dépression nerveuse à 29 ans, excellent thérapeute, pas de rechute mais un terrain toujours fragile même à 63 ans ! je viens de lire le livre de Ph. Labro : à lire et à méditer ! "

Françoise " j'ai vécu des evênements difficiles dans ma vie, rapprochés (divorce, hospitalisation longue d'un enfant, puis décès de mon père), et je n'arrivais plus à avancer. j'ai fait une psychotérapie pendant 1 an et demi et maintenant je vais très bien, j'ai pris un nouveau départ: je suis détendue avec mes enfants, j'ai repris mes études à 40ans, je suis célibataire et épanouie, bref, je me suis rarement sentie aussi bien dans ma vie. pour moi, c'est très positif de travailler sur soi, ça fait avancer et grandir "

fred " suite à une dépression qui m'est tombée dessus sans que je sache ce que c'était d'où çà venait, pourquoi moi, pourquoi maintenant !..je suis donc allé consulter un psychothérapeute suite aux conseils du généraliste...je suis en train de remonter tout mon passé pour trouver les causes de cette souffrance qui ressort. "

frederique " cela m'a fait beaucoup de bien lorsque j'ai perdu mes grand-parents sinon je ne vois pas l'utilitee d'y retourne ou alors il faudrait que la raison soit vraiment valable.un gros coup dur par exemple. "

Géraldine " et je consulte encore : j'ai eu qques très mauvaises expériences car j'allais tellement mal que je n'ai pas pu quitter ces psy(eux auraient dû reconnaitre leur incapacité à m'aider et le mauvais choix de leurs méthodes pour soigner, c'était notamment en thérapie de groupe que je me suis fait très très mal, une vraie secte) puis ensuite j'ai contacté par le biais d'une association, un cabinet de psychologues/psychanalystes spécialisés dans les pb que j'avais et cela s'est avéré être (enfin et après de grosses souffrances non seulement liées au mauvais choix de psy que j'avais fait mais aussi liées à mon mauvais état psychique) le bon choix, une vraie écoute, pas de miracle mais une vraie compétence, une vraie empathie et de la douceur aussi. "

ghislaine " bilan nul aucun résultat pas d'osmose entre lui et moi plutôt un rejet réciproque "

ghislaine " Quand il y a un décès dans ma famille ou belle-famille, je n'arrive pas à le surmonter . cela me ramène à mon enfance où j'ai vu ma mère dépérir par un cancer qui la rongeait. J'avais 4 ans...puis elle est décédée, on me l'a toujours cachée. Elle n'a pas été remplacée, et elle me manque toujours énormément, malgré mes 45 ans. Ma belle-famille ne me comprends pas . j'ai fait deux dépressions . j'ai été suivie par un psy pendant trois ans . mais, à part le fait de me faire ressasser mon enfance malheureuse, je n'ai pas l'impression d'avoir avancé, d'avoir " grandi " ! "

guillaume " Ma famille et mes amis je les appelle :..les y a qu'a faut qu'on.... PAS MON PSY..cette démarche est natuelle,je suis issu d'une culture anglo-saxone "

Helène " Cela m'a permit de poser mes fardeaux..De renouer avec moi même..de mieux gérer mes relations avec les autres..Et d'en finir avec des soufrances enfoui..d'être mieux...IL y a un moment ou il faut savoir se poser...Quand tout va bien, et que malgré tous on est mal c'est qu'il est temps d'agir...Si j'avais su je l'aurais fait plus tôt ..Les 3 premiers mois sont très durs car on attend toujours d'être très mal avant de consulter...Ma psychoterapie a été bénéfique sur tous les plans...Professionnelement, pour mes enfant, mon conjoint et surtout pour moi...Je ne vois pas l'interêt de continuer à souffrir et cela est une bonne raison pour consulter... "

Hélène " C'est un passage très dur, car il faut arriver à trouver ce qui vous rend fragile, dépressif. Il faut savoir remuer les bons, comme les mauvais souvenirs ce qui n'est pas toujours évident. Vous avez souvent l'impression de ne pas avancer, que cela ne sert à rien sur le moment, que l'on ne vous comprend pas. C'est vrai qu'être dépressif ce n'est plus une honte aujourd'hui, mais vous avez quand même le regard des autres qui pèse parfois. Le bilan pour moi, n'a été ni positif, ni négatif. Certaines personnes de mon entourrage me disent que cela a été positif. Moi, du regard que j'en ai, je n'ai pas l'impression que cela ait été positif. Aujourd'hui, je rencontre à nouveau psychologue, psychiatre pour ma fille de 14 ans et demi suite à une annorexie, une boulimie et dépression. J'ai également l'impression que même si l'on rencontre beaucoup de personnes dont c'est le métier, si ne nous sommes pas prêt à vouloir sortir de ce mal être, ces personnes ne peuvent rien. "

Hélène " Je fais actuellement une thérapie depuis 2 ans. Cela m'a fait prendre conscience des causes de mes problèmes et ça m'aide à me libérer du poids des angoisses de mes parents qui ont rejaillies sur moi. Le bilan est plus que positif, je n'ai que 24 ans, mais c'est pour moi une libération et une manière de trouver qui je suis vraiment et ce que je veux. "

Hélène " j'en suis au tout début .. DOnc pas grand chose à raconter .. Mais en ce quiconcerne, j'avais besoin d'exprimer ce que je ressentais sans retenue, mes réflexions mes angoisses .. Avec le psy je peux le faire, et ça me fait du bien.. "

Hélène " TB, intéressant et positif, utile. RAS : c'est un spécialiste comme un autre, le tout étant d'établir un bon contact avec lui. "

ingrid " pas réussi a faire plus de 2 séances, le psy étant trop "passif" "

isabelle " Cela fait toujours du bien de parler en toute franchise de ses problemes personnels afin de trouver des solutions ou des conseils afin de vivre en toute sérénité...Le bilan cependant est pour ma part très moyen car je pense que nous sommes reellement seul face à nos problemes et qu'il faut tout simplement faire de gros efforts d'adaptation et un certain courage pour quitter ses illusions et accepter finalement que certaines choses ne peuvent pas etre modifiées ni controlées.Le psy n'a qu'un role d'assistance le plus gros travail est une prise de conscience personnelle de ce qui se passe et de palier aux conséquences. "

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