Le Petit Prince et nous : la rédaction se souvient

L'exposition "Le Petit Prince à Versailles", qui se tient jusqu'au 28 février 2016 à Versailles, est l'occasion d'un retour en enfance. Quoi de mieux que l'approche de Noël pour évoquer notre ressenti quant à l'histoire de ce petit blondinet ? La rédaction du Journal des Femmes se plonge dans ses souvenirs...

Fiona Ipert, rubriques Société, People, Loisirs :                     
Je me souviens d'une lecture du Petit Prince à l'époque du CP, par la maîtresse. J'essayais de contenir mes larmes discrètement alors que l'histoire du garçon à l'écharpe jaune me chamboulait totalement. Le Petit Prince, c'est le premier livre qui m'a émue et... sûrement l'origine de ma phobie des serpents !

Mariana Goncalvers, rubrique Cuisine : 
Selon moi, la magie du Petit Prince réside dans le fait que cet ouvrage peut être lu par petits et grands et donner lieu à bien des interprétations. Avec lui, on apprend et on comprend l'amitié, l'amour, l'émancipation... Chaque nouvelle lecture entraîne une nouvelle réflexion.

Ony Dousa, rubrique Beauté :
Le Petit Prince, pour moi, c'est l'innocence de l'enfance et un conte poétique et philosophique qui met en lumière le comportement absurde des adultes. En somme, c'est une invitation à redevenir l'enfant qu'on a été pour être un adulte meilleur. 

Alice Thierry de Ville d'Avray, rubrique Cuisine : 
Ma première et dernière fois avec Le Petit Prince, ce fut l'année de mes 13 ans. Je me souviens avoir longuement lorgné le vieil ouvrage dans la bibliothèque de mes parents. Je fantasmais ce classique, que dis-je, ce chef d'oeuvre. Les premières lignes suffirent à me conquérir. Puis ce fut (une lecture) rapide, beau et tendre. Je me souviens m'être sentie plus grande, plus adulte, plus mature. Je ne l'ai jamais relu depuis de peur de trop rationaliser et donc, gâcher cette première lecture avec les yeux d'une adolescente... 

Bénédicte de Montvallon, rubriques Société, People, Loisirs :
J'ai découvert Le Petit Prince grâce à mes parents, alors que le livre traînait dans la bibliothèque familiale. Je ne garde pas tellement de souvenirs de ma première lecture, mais retiens plutôt la poésie générale de cette histoire et les leçons de vie qu'elle véhicule, comme le fameux "on ne voit bien qu'avec le coeur". J'ai retrouvé cette poésie et cette nostalgie de l'enfance dans le film de Mark Osborne, que j'ai adoré.                                                                                                      

Affiche de l'exposition