Tendance Shop driver addict

Vlan ! Nos courses tombent tout droit du ciel dans le coffre de notre auto. Tout ce dont on se souvient, c'est d'avoir tapoté des noms de légumes et de céréales sur internet tout en changeant la couche de bébé. C'est la magie du Drive.

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En pleine expansion depuis cinq ans, cette offre "Drive" répond aux changements de comportement de consommateurs que nous sommes.  © Drive

Pourquoi attendre comme des autruches sans plan d'attaque aux caisses bondées alors qu'on peut passer en coup de vent au Drive ? Ce service en plein boom repose sur un concept ultra simple : on commande ses petits produits sur internet et on les récupère en voiture dans un entrepôt le plus souvent accolé à notre supermarché fétiche. En pleine expansion depuis cinq ans, cette offre "Drive" répond aux changements de comportement de consommateurs que nous sommes. Car avec l'essor d'internet, nous voilà demandeurs de nouvelles facilités pour faire nos courses alimentaires et domestiques. Et les femmes, l'esprit pratique bien développé, ne sont pas les dernières à y avoir recours. Surtout celles qui ont des enfants. Car les Drive, inventés en 2004, ont un atout indéniable : le gain de temps. En un quart d'heure notre caddy virtuel est rempli. Et le lendemain un préparateur de commandes le dépose dans notre coffre. Pas étonnant que l'expansion du parc des drives ait été très rapide ces dernières années : leur nombre a dépassé les 2 000 unités début 2014, dont plus de 400 sur site propre. Les provinciaux (90%) transformés en véritables "shop driver", en redemandent. Le premier Drive installé par Leclerc ne sera pas resté seul longtemps...

Les plus : le gain de temps, la gratuité du service (pour l'instant) et des produits au même tarif qu'au supermarché
Le moins : on ne choisit pas soi-même la tête des fruits, viandes et légumes