Carla Bruni-Sarkozy, blessée par les médias
Dans une interview donnée en exclusivité au magazine Elle, Carla Bruni-Sarkozy révèle les dessous de sa vie de maman à l'Elysée et ses complexes physiques.
[Mis à jour le 25/10/2012, à 12h10] Du mannequin filiforme à la maman un peu ronde, il y a un fossé... qu'a franchi Carla Bruni-Sarkozy avec la naissance de sa fille, Giulia. D'ailleurs, ce changement radical d'apparence n'a pas manqué de faire parler les médias. Des critiques qui ont piqué au vif l'ex-première dame. Carla Bruni-Sarkozy confie au magazine Elle avoir été "blessée par les attaques personnelles, sur son physique par exemple". Citant notamment une photo parue en octobre 2011, elle souligne : "J'en profite pour 'remercier' cet aimable photographe qui a publié une photo de moi avec 20 kilos de trop, à peine sortie de la maternité. Je dormais deux heures par nuit, j'avais le visage bouffi de fatigue." Elle ajoute "Je trouve limite qu'on utilise ces arguments dans le combat politique. Après une grossesse, on est épuisée, surtout à 43 ans. Je ne m'attendais pas à la clémence, mais pas non plus à cette cruauté", dit-elle. Carla Bruni-Sarkozy ajoute : "la maternité chaque fois me laisse défaite physiquement et psychologiquement".
Maman et première dame, un rôle complexe
Alors que le couple vient de fêter le premier anniversaire de la petite Giulia, Carla Bruni-Sarkozy revient sur sa vie de maman et de première dame, dans les colonnes de l'hebdomadaire Elle. La belle Méditerranéenne avoue avoir mal vécu la campagne présidentielle : "Ça a été une période difficile : je voulais soutenir mon mari pendant sa campagne et, en même temps, je ne voulais pas sortir, je ne voulais pas qu'on me prenne en photo, j'avais envie de pleurer de fatigue, j'étais fragile. Je n'étais heureuse qu'en famille et le contraste entre la douceur de la vie à la maison avec le bébé et la brutalité du monde extérieur a été violent", se souvient-elle.
Un épisode qui fait partie du passé pour Carla Bruni-Sarkozy qui affirme vouloir "clore un chapitre de [s]a vie" maintenant qu'elle peut de nouveau s'exprimer "librement".