Les femmes, leurs seins et autres contrariétés...

Une relation complexe. Plus de 7000 lectrices du magazine Elle US ont répondu à un questionnaire concernant leur manière de percevoir leur poitrine. Entre accidents de tétons et pensées pas du tout érotiques, les seins n’ont pas dit leur dernier mot !

La poitrine est peut-être la partie du corps féminin qui fait le plus parler, le plus fantasmer voire "psychoter". Cette étude réalisée par ELLE US sur 7000 de ses lectrices a le don de faire rire, d’informer, et de rassurer sur le fait que, non, vous n'êtes pas seule à douter de votre taille de soutien-gorge (73% des lectrices sont concernées). Vous n'êtes pas non plus un cas isolé si vous avez retrouvé votre soutien-gorge brassière au niveau de vos côtes lorsque vous portiez cette superbe robe bustier. Si chaque décolleté est unique, les mésaventures sont (presque) universelles.
Les lectrices du ELLE US évoquent aussi certaines pensées fantasques, mais répandues, sur les seins. Comme par exemple le fait d’avoir cherché le fruit qui ressemblait le plus à leurs courbes (21% concernées). Ou encore que lorsque nous ne portons pas de soutien-gorge sous notre Tee-shirt, notre poitrine devient tout de suite plus rock’n’roll. 
L’étude révèle aussi qu’il n’y a pas seulement les hommes que l’on peut taxer d'obsédés lorsqu’il s'agit de leurs pectoraux. Nous sommes toutes aussi coupables. En effet, 11% de lectrices disent avoir donné des noms à chacun de leur sein, et 29% ont déjà rembourré leur soutien-gorge à l’aide de papier toilette. Et la liste est longue :

16% ont déjà fait essayer un de leur soutien-gorge à leur amoureux pour s’amuser.

23% ont mis du temps à se rendre compte qu’un de leurs tétons dépassait de leur maillot de bain.

25% maquillent leur décolleté pour le rendre plus attrayant.

29% ont déjà utilisé du papier toilette dans leur soutien-gorge pour gonfler leur poitrine.

40% ont déjà envisagé de faire une augmentation mammaire.

70% ont déjà comparé leurs seins au pis d’une vache lorsqu’elles se penchent.

81% sont complexées par la différence de taille entre leurs deux seins.

@Connor Evans