Les Français sont maîtres de leur bonheur

Voilà une nouvelle qui a de quoi nous emplir de bonheur ! Les Français croient au bonheur et au fait de le provoquer. Coca-Cola France a voulu s'intéresser de plus près à la manière dont les Français envisagent leur joie de vivre. L'Institut Français d'Opinion Publique (Ifop) a réalisé un sondage pour mieux comprendre ce que les Français pensent du bonheur et particulièrement, les plus jeunes. Tous âges confondus, ils sont optimistes et croient dur comme fer au sentiment de béatitude. Ils sont aussi maîtres de leur bonheur, qui selon eux, se vit au quotidien par des petits moments agréables.
C'est quand le bonheur ? Tout de suite ! Selon le sondage Ifop, 91% des Français en sont sûrs, le bonheur existe. Les jeunes de 15 à 20 ans sont les plus optimistes et sont convaincus à 94% que le bonheur est là. Pourtant, seul 1 Français sur 3 se déclare heureux.
Le bonheur se décide, ne s'improvise pas. Joie ou pas, ce qui compte c'est que les Français sont persuadés à 82% qu'ils sont responsables de leur propre bonheur. Les jeunes mettent la barre haut et leur niveau de responsabilité du bonheur est encore plus élevé.
Acteurs de son propre bonheur. Avant l'entrée dans la vie active, les jeunes sont conscients que pour réussir dans la vie et créer leur futur succès, ils doivent prendre des décisions importantes et faire des choix. 81% des Français s'accordent à dire que "le bonheur, ça se choisit, ça se provoque". Pour une grande majorité, il faut saisir "chaque occasion d'être heureux qui se présente". "Créer les conditions de son bonheur - ce qui implique une démarche volontariste -, a donc plus de valeur que l’attente un peu fataliste d’un bonheur fortuit", a expliqué le sociologue Michel Fize, pour éclairer ces chiffres, dans un communiqué.
Art de vivre ensemble. Pour plus de 8 Français sur 10, le bonheur est considéré comme un art de vivre qui se cultive au jour le jour. Ils philosophent et appliquent à la lettre le Carpe diem.  Selon eux, il faut "profiter de la vie à fond". Pour les ¾ des Français, les petits "kiffs" valent mieux que les grands objectifs fixés dans toute une vie. Les moments de joie seraient liés à la sphère familiale et sociale.
Les jeunes, pro bonheur, pas des rêveurs. Selon l'Ifop, pour 72% des adolescents européens, leur réussite dépend avant tout d'eux-mêmes et ils agissent donc selon leur instinct."En somme, pour les Français, le bonheur, c’est bien maintenant", a résumé le sociologue Michel Fize, dans un communiqué.