#BringBackOurGirls : Valérie Trierweiler appelle à la mobilisation

Actuellement en visite au Congo, l'ancienne Première Dame souhaite la poursuite de l'action pour libérer les 200 jeunes filles enlevées il y a deux mois au Nigéria.

Deux mois déjà que 200 lycéennes ont été enlevées par Boko Haram au Nigéria. Hier, la journaliste et ancienne compagne de François Hollande annonçait la parution d'une tribune intitulée "Leur crime : être filles et aller à l'école" dans le quotidien Le Monde ce samedi et dont elle est l'une des signataires. L'ont suivie des personnalités comme Isabelle Adjani ou encore Monica Belluci.

Depuis Kinshasa, Valérie Trierweiler alerte les politiques sur l'importance du maintien de l'action et de la mobilisation face au groupe armé islamiste nigérian. Elle a d'ailleurs déclaré : "Si on ne montre pas notre force par rapport à leur force à eux, vers quel monde on va?", tout en brandissant, accompagnée de nombreuses jeunes congolaises, des pancartes sur lesquelles étaient inscrites le désormais célèbre "BringBackOurGirls".

Elle rappelle également que "l'on veut empêcher les filles d'étudier, on veut les réduire à l'état d'esclavage, les marier de force, s'en servir pour les violer, en faire des servantes". Mais l'ancienne Première Dame ne s'arrête pas là et dénonce "une régression totale". Elle poursuit en insistant sur le fait qu'au-delà "de ces jeunes filles, c'est tout un symbole, le symbole de la femme opprimée."

Depuis le 14 avril dernier, jour de la disparition de ce jeunes lycéennes, les attaques de villages continuent laissant derrière elles des centaines de morts.