Julie Gayet refuse de commenter sa vie privée

Julie Gayet ne se confiera pas. Que l'on se le dise, l'actrice refuse de parler de sa relation avec François Hollande. Présente à New York pour promouvoir son film documentaire "Cinéast(e)s", elle a de nouveau éludé les questions concernant sa vie personnelle.

"Ma vie privée est ma vie privée". Voilà la réponse claire et ferme que Julie Gayet a formulée lorsque les questions ont dévié sur sa vie personnelle lors d'un forum de discussion cinématographique à New York. C'est la première fois que l'actrice prend la parole depuis l'affaire Closer. Les révélations sur sa relation avec le président François Hollande l'ont beaucoup affecté et la belle ne s'est pas exprimé depuis. Même son apparition surprise aux Césars avait été accompagné d'un silence total.

La réalisatrice est présente à New York dans le cadre du Festival de l'Alliance Française "Rendez-vous with French Cinéma". Elle y fait la promotion de son film "Cinéast(e)s" réalisé avec l'acteur Mathieu Busson. Après s'être engagée dans le court métrage "14 millions de cris" de Lisa Azuelos contre les mariages forcés, elle met en valeur le rôle des réalisatrices. Dans son film-documentaire, elle interroge une vingtaine de réalisatrices comme Julie Delpy, Josiane Balasko ou encore Valeria Bruni Tedeschi sur leur métier au féminin. Le forum de discussion de ce samedi à Manhattan portait donc sur ces thématiques. Des huées se sont vite faites entendre lorsque la discussion a dévié sur la vie privée de l'actrice, suivi d'applaudissements lorsque celle-ci a refusé de répondre. Un peu plus tard, une autre journaliste a tenté de savoir comment allait celle qui a fait l'objet de toute l'attention médiatique ces derniers temps, elle s'est contenté de dire qu'elle allait bien malgré "un coup sur la tête"... dû au décalage horaire.

On n'en saura pas plus donc.

Julie Gayet tient à sa vie privée et les poursuites qu'elle a lancées à l'encontre de Closer le démontrent bien. Elle demande 50 000 euros de dommages et intérêts au magazine ainsi que le remboursement des frais de procédure d'un montant de 4 000 euros. Le tout assorti d'une publication judiciaire à la une de l'hebdomadaire.