Rencontre avec Pauline Croze Sa déco, ses voyages et la danse
Peux-tu nous décrire la déco de ton intérieur ?
Pauline Croze : C'est un mélange. Il y a des meubles actuels et basiques (IKEA), mais aussi des objets d'inspiration asiatique. J'adore les meubles en bois, c'est un matériau qui me plaît beaucoup. Il y a aussi une image située dans mon salon qui est très importante chez moi, c'est l'image d'un bateau. Je ne suis pas collectionneuse mais dès que je trouve de belles plaques gravées avec des images de bateaux, je les prends et je les garde. C'est un peu l'élément décoratif de mon intérieur.
Oui, j'adore voyager. Que ce soit en France, dans un camion ou être sur la route pour la tournée, ça m'emmène déjà loin dans la tête, alors imagine ce qui se passe si je pars au Japon !
Quel voyage t'a beaucoup marquée ?
En novembre 2011, j'ai fait une petite tournée dans les pays de l'Est (Pologne, Ukraine, Serbie). J'ai adoré. J'ai très envie de découvrir la culture de ces pays. La langue serbe ressemble beaucoup à l'italien, et comme j'ai des origines italiennes, ça me parle. C'était très court donc j'aimerais vraiment approfondir davantage ces territoires.
Quel est l'endroit où tu te sens le mieux ?
En voyage, en transit, quand je pars d'un endroit pour aller à un autre.
Quand tu étais petite, qu'y avait-il écrit sur ton bulletin scolaire ?
"Elle peut mieux faire mais elle fait juste le minimum pour passer à la classe d'après."
Dans le clip de ton premier single "Quelle heure est-il ?", tu danses...
J'essaye. En 2007, j'avais pris des cours d'afro jazz et de flamenco, et en 2009, j'ai suivi des cours de modern jazz, flamenco, et dancehall. Franchement, je ne suis pas danseuse, c'est juste pour moi, pour me faire plaisir et pour apprendre à être plus à l'aise avec mon corps, à mieux l'appréhender. Je me suis beaucoup amusée. J'adore la danse, c'est quelque chose que j'aurais bien aimé faire plus tôt. J'aime bien bouger. Dans le clip, il s'agit d'une chorégraphie de danse contemporaine, c'est un autre langage que je ne connais pas, il a donc fallu que je trouve mes repères. Certains gestes ont été conservés, d'autres non, du coup je ne sais plus si on voit que c'est une chorégraphie ou pas ! Il y avait aussi un vrai défi derrière tout cela.