Delphine Wespiser, les vacances de l'amour Une élève attentive et douée

Plastique parfaite et petit air coquin, Delphine Wespiser, la déesse du Haut-Rhin a une tête bien faite et bien pleine.

Vous avez participé à l'émission Fort Boyard, récemment ?
Oui je me suis démenée à fond pour l'IFAW (Fonds international pour la protection des animaux) dont je suis la marraine. C'est une association très dynamique qui sensibilise les générations futures à la faune et à l'environnement. L'expérience a été éprouvante, mais formidable !

Pas trop dur physiquement ?
Je suis revenue couverte de bleus et pétrie de courbatures, c'était intense, mais je suis fière de m'être dépassée.

J'ai lu que vous n'étiez pas une grande sportive ?
C'est sûr, je ne suis pas Laury Thilleman... Heureusement j'aime danser, j'aime nager, me balader. J'ai aussi la chance d'avoir un super patrimoine génétique. Et comme je suis végétarienne, je ne suis pas obligée de goûter à toute la charcuterie du terroir !

Vous êtes plutôt plage ou montagne ?
Direction la mer, toujours. Je pratique la plongée avec masque et tuba. Je reviens d'ailleurs de l'Ile Maurice où j'ai découvert un milieu aquatique magnifique. Être Miss France, c'est un rêve éveillé.

delphine wespiser, miss france 2012
Delphine Wespiser, Miss France 2012 © Miss France

Quel est votre meilleur souvenir de vacances ?
Sûrement l'été de mes 14 ans. Nous sommes allés découvrir les îles anglo-normandes avec mes copains, à bord d'un voilier. La plus chouette colo que l'on puisse imaginer !

Et le pire ?
Un séjour linguistique en Angleterre. La famille d'accueil était tout... sauf accueillante !

Les lycéens découvrent les résultats du Bac, vous vous rappelez de cette épreuve ?
J'étais très sereine. J'ai toujours adoré l'école et les examens. J'ai passé sans difficulté mon Bac ES, spécialité allemand.

Que comptez-vous faire à l'issue de votre année de règne ?
Lorsque je me suis présentée à l'élection, j'étais étudiante en management tri-national entre Colmar, Lörrach (Allemagne) et Bâle (Suisse), je suis décidée à reprendre mon cursus dès que j'aurai cédé ma couronne.

 

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