Le défilé haute couture d'Eymeric François : corsetterie et kimonos
 
Véritable signe distinctif de sa maison, le corset se décline, dans le salon d'accessoirisation, sur un kimono retravaillé. Un clin d'œil à la précédente collection hivernale qui avait été particulièrement prisée par les acheteuses. Photo © L'Internaute Magazine / Agathe Azzis
 

Déshabillez-moi !

La corsetterie a aussi la part belle dans le 4ème tableau de la mise en scène. La chambre noire, transformée en salon d'accessoirisation, est le cadre choisi par Eymeric François pour oublier un temps le Studio Harcourt et mettre l'accent sur ses propres codes. "Il y a ici un côté beaucoup plus lingerie, avec des bodys corsetés et des peignoirs", précise-t-il. "Les peignoirs sont travaillés à partir de kimonos à motifs floraux que j'ai faits faire au Japon. On les a démontés et remontés pour les détourner en manteaux de fourrure. Cette thématique forte est venue de ma volonté de faire des grands volumes très fifties mais aussi du succès qu'ont connu les kimonos auprès des clientes".

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