Déshabillez-moi !La corsetterie a aussi la part belle dans
le 4ème tableau de la mise en scène. La chambre noire, transformée
en salon d'accessoirisation, est le cadre choisi par Eymeric François pour
oublier un temps le Studio Harcourt et mettre l'accent sur ses propres codes.
"Il y a ici un côté beaucoup plus lingerie, avec des bodys corsetés
et des peignoirs", précise-t-il. "Les peignoirs sont travaillés
à partir de kimonos à motifs floraux que j'ai faits faire au Japon. On
les a démontés et remontés pour les détourner en manteaux de fourrure. Cette thématique
forte est venue de ma volonté de faire des grands volumes très fifties
mais aussi du succès qu'ont connu les kimonos auprès des clientes".
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