Rock en Seine : 3 jours dans la jungle musicale

Le Journal des Femmes a arpenté Rock en Seine tout le week-end. Compte-rendu de trois jours de bon son sous une chaleur tropicale.

A Rock en Seine, il y a les concerts évidemment, mais aussi tous les à-côtés qui font du festival un incontournable de la fin d'été. Le seul moment où modeuses côtoient rockeurs dans la boue, c'est au Domaine national de Saint-Cloud pendant le dernier week-end d'août. Le Journal des Femmes a passé trois jours au son du plus rock des événements parisiens et vous en fait le(s) bilan(s).

Bilan chiffré : 120 000 spectateurs, des centaines de décibels, des dizaines de milliers de litres de bière écoulés, 35 degrés celsius, des dizaines de couronnes de fleurs, une flopée de spectateurs grimés en animaux sauvages, beaucoup de paires de Stan Smith.

Bilan musical : on a bougé sur Kasabian, on s'est défoulés sur The Offspring, on a sauté devant Fauve, dansé sur Etienne Daho et brillé devant Marina & the Diamonds. On a groové devant Gramatik, plané sur Tame Impala, chanté à tue-tête grâce aux Libertines. On s'est réchauffés devant Hot Chip, crié avec Alt-J et terminé en beauté grâce aux Chemical Brothers.

Bilan en photos :

De l'intérêt de porter des bottes en plastique © Journal des Femmes
Kasabian © Olivier Hoffschir
Miossec © Nicolas Joubard
Une jungle très peuplée © Journal des Femmes
The Libertines © Victor Picon
Etienne Daho © Victor Picon
La lune veille sur Rock en Seine © Journal des Femmes
Sous la chaleur de Rock en Seine © Olivier Hoffschir
Alt-J © Olivier Hoffschir
The Chemical Brothers © Olivier Hoffschir

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