Prix du Roman Fnac 2017: palmarès

Cette année, le Prix du Roman Fnac a récompensé Véronique Olmi et son roman "Bakhita", choisie parmi 35 candidats. Découvrez les autres ouvrages remarqués.

Prix du Roman Fnac 2017: palmarès
© Jean-Baptiste Andrea - Ma Reine - Éditions L'iconoclaste

Cette année, le Prix du Roman Fnac a été décerné à Véronique Olmi pour son roman Bakhita. Il retrace le parcours d'une esclave soudanaise, qui se convertie au christianisme et finit canonisée par Jean-Paul II. Le jury, composé de 400 libraires et 400 adhérents Fnac a dû délibérer parmi 35 candidats. Voici le palmarès des finalistes : 

Ma Reine de Jean-Baptise Andrea , aux éditions L'Iconoclaste
Avec Ma Reine, le réalisateur et scénariste Jean-Baptiste Andrea signe son premier roman dans lequel il relate l'expérience de Shell, un petit garçon placé en institut. Ennuyé par l'école, il se met en tête de partir faire la guerre pour devenir adulte. Parce que le destin joue souvent des tours, il rencontre Viviane, une jeune fille dont il se prend d'affection. Le roman décrit le sinueux cheminement vers l'âge adulte. 

Point cardinal de Léonor de Récondo, aux éditions Sabine Wespieser
Laurent, époux et père de famille, se travestit régulièrement en secret, jusqu'à l'inévitable découverte de la vérité par sa femme, Solange. Léonor de Récondo aborde le sujet de la transsexualité à travers le parcours identitaire de Laurent, et la façon dont elle influe sur ses relations avec ses collègues, ses enfants, son épouse. 

Femme à la mobylette de Jean-Luc Seigle, aux éditions Flammarion
Écrivain confirmé, Jean-Luc Seigle traite de la précarité et de la volonté de s'en sortir dans son nouveau roman. Sans emploi depuis trois ans, une mère de trois enfants ne parvient pas à joindre les deux bouts. La réponse à ses soucis se présente sous la forme d'une mobylette bleue. 

Ces rêves qu'on piétine de Sébastien Spitzer aux éditions L'Observatoire
Le journaliste Sébastien Spitzer présente Ces rêves qu'on piétine, son premier roman qui tient place lors de la chute du IIIe Reich, alors que Magda Goëbbels, proche d'Adolf Hitler, se réfugie avec ses enfants dans un bünker berlinois. Au même moment, une petite fille s'enfuie et tient dans sa main des lettres d'un certain Richard Friedländer, le beau-père de Magda, raflé parmi les premiers juifs, durant la guerre.