Sexo: les femmes sont plus audacieuses pendant les vacances
Alors que l’été bat son plein, on apprend grâce aux scientifiques des Universités de l’Illinois et de Floride qu’il n’y a pas que le thermomètre qui s’affole en cette saison. Une fois les pieds dans l’eau, l’audace des femmes serait à son maximum. Explications.
Vamos a la playa ! Pour nous les femmes, les vacances en bord de mer seraient synonymes de témérité. En effet, selon une étude des Universités de l’Illinois et de Floride, ces quelques jours les pieds dans le sable, seraient vécus comme un cadre propice à l’expérimentation de nouvelles expériences sexuelles pour les femmes en couple. Les célibataires, elles, miseraient sur les visites culturelles en groupe pour rencontrer de beaux mâles qui les fera éventuellement grimper aux rideaux.
Le Dr Liza Berdychevsky de l'Université de l'Illinois et le Dr Heather Gibson de l'Université de Floride ont souhaité comprendre les motivations des femmes à se livrer à des expériences sexuelles plus facilement. On apprend alors que les femmes seraient davantage susceptibles de coucher de manière irréfléchie après quelques verres de trop. En effet, 3 mojitos et 2 tequilas plus tard (saoule moi ? naaan !), les femmes hésiteraient moins à tenter de nouvelles choses. Adieu tabous, plus de limites elles expérimenteraient volontiers ce qui les effraie habituellement. (Mais attention, l'alcool est à consommer avec modération).
En vacances, on ne vous juge pas !
En vacances, on ne vous connaît pas, en vacances on ne vous juge pas, en vacances on porte des vêtements super flatteurs, bien loin du tailleur pantalon noir archi strict qui nous fait paraître 10 ans de plus. En vacances on est loin des soucis de la vie quotidienne et des normes sociales. Ce sont tous ces éléments qui seraient à l’origine de cette prise de risque. "Peut-être que nous sommes tellement disciplinées dans la vie de tous les jours, que lorsque nous nous trouvons dans une situation où il n'y a pas de calendrier et pas de contrôle, ça libère de nombreuses barrières psychologiques et de nombreuses inhibitions", explique le Dr Berdychevsky.